Mon avis : Dire que j’ai attendu 50 ans pour lire ce chef-d’oeuvre ! Mon avis : Shining est le troisième roman de Stephen King publié. A noter : j’utilise aussi beaucoup Google trad ! Cette traversée commence en 1920, à l’aube de la Dépression, et s’achève en 1953. Sous titré pompeusement 7 histoires, il s’agit de sept récits indépendants liés par un fil narratif, l’éditeur le précise en quatrième de couverture, je cherche encore ce fil. Bien que le contexte politique (la guerre froide), trente ans plus tard, ait beaucoup évolué (quoi que…), ce roman n’a pas pris une ride. Le pitch : A New York, dans les années quarante, un enfant regarde, à travers les barreaux du soupirail où il est enfermé, les chaussures des passants qui marchent sur le trottoir. – se lançait dans une série sur les vampires ?!) » aurais-je pu crier en tournant la dernière page de cet épais roman dans lequel je me suis immergé, plusieurs soirs de suite. Et 32 €, pour un tel ouvrage, 750 pages d’un format exceptionnel (23.5*17.5 cm) imprimé sur un extraordinaire papier à la fois lourd et très fin, dans une dimension, ce n’est absolument pas exagéré. Mon avis : Quand on lit La chute des princes (découvert par pure curiosité, pour la beauté de la photo de la couverture, en édition format poche), on ne peut s’empêcher de faire des rapprochements avec plusieurs livres célèbres. A cœur ouvert. Bayous, chaleur, moustiques, lutte des hommes frustres contre la nature sauvage. Tout d’abord, comme pour Mystic river, il s’agit d’un « one shot », une histoire sans lendemain. Mon avis : La firme est le second roman de John Grisham (après Non coupable), publié en 1991, et celui qui l’a révélé au grand public. Je comprends votre remarque mais mon intention était de présenter les livres qui, à mon avis, ressortaient dans l’histoire de la littérature américaine au cours des dernières 75 années. Mouais, c’est bien ce que je pensais : il y a beaucoup moins de lecteurs de Dune que l’on ne le pense généralement, car ce n’est pas un roman si accessible que cela. «. Ou alors, si peu, que cela ne vaut même pas la peine d’en parler. complètement la notoriété d’un excellent livre, au point que la plupart des gens ignore même que le livre a existé. En découvrant le pitch des Cygnes de la cinquième avenue, je me suis dis que Mélanie Benjamin avait sacrifié à cette nouvelle mode. Pour moi, sans aucun doute, la reine du polar psychologique… mais aussi une championne de la nouvelle. Et pourtant… quel bouquin formidable ! Pauvre, sans autre protection que celle d’une mère excentrique, Claude Rawling semble destiné à demeurer spectateur d’un monde inaccessible. C’est le propre de ce site : Le Tourne Page, c’est le cri d’amour sincère d’un lecteur aux livres ! Le président des États-Unis annonce la mort de Jensen et Rosenberg, les deux plus hauts magistrats de la Cour suprême. Le pitch : Mark Twain, Hermann Goering, Jésus, Richard Burton. Parfois méconnus, leurs romans ouvrent une fenêtre sur l’histoire de la communauté noire. Un texte dont la lecture vous procurera les mêmes sensations que le visionnage d’un film américain des années 50 diffusé en 70 mm dans une salle avec écran géant. Mon avis : Peut-être avez-vous vu, il y a de cela pas mal d’année, l’excellent film de Milos Forman, adaptation du roman de E.L. Doctorow ? Bonjour, je recherche une trilogie sur l’arrivée et l’installation d’une famille de colons en Amérique , lue dans les années 60 mais sûrement plus ancienne . Passé inaperçu lors de sa sortie, ce roman du bush australien est pourtant une vraie pépite, un petit bijou d’humour noir. Les 10 romans américains incontournables Il y a quelques années le phare de la littérature mondiale se dressait boulevard saint Germain, il éclairait les nations ignorantes, anglo-saxonnes pour la plupart, et guidait le romancier perdu vers le port du bon goût et de l'intelligence. Rendez-vous avec Rama n’est pas considéré comme une de ses œuvres majeures, mais pourtant… j’ai une affection particulière pour ce roman, car c’est une histoire d’exploration, et j’adore les histoires d’exploration ! Un solide point de départ pour entrer dans le vif de la littérature. Mais, allez-vous me dire, vous avez déjà vu l’adaptation cinématographique de Roman Polanski !… Certes, et cette adaptation, fidèle, est remarquable. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Neuf nouvelles, dans l’ensemble assez longues, dont au moins deux sont passées à la postérité pour avoir été adaptées au cinéma : The Minority report, adapté par Spielberg (les autres éditions de poche portent ce titre, avec un visuel flashy de la tête de Tom Cruise dans le film), et We can remember it for your wholesale, adapté par Verhoeven sous le titre Total recall. C’est sans compter avec sa silhouette éléphantesque et son arrogance bizarre…. If you’re looking for more good American literature, I’d recommend checking out Charles Bukowski. Quel dommage… me voilà donc obligé de m’employer à vous en convaincre ! Robert Goolrick nous invite au bal des vanités, où une bande de jeunes hommes vont vendre leur âme au dollar et se consumer dans une ronde effrénée, sublime et macabre. Mais dans la chambre du fond, enseveli sous une montagne de vieux papiers, se trouve un petit piano blanc désaccordé. Vous ? Le pitch : Lors de sa publication en 1975, Ragtime fut porté aux nues par la critique américaine avant de devenir un best-seller mondial. Merci beaucoup pour le compliment, ravi que cette liste (non exhaustive) vous intéresse. Son atout indéfinissable : son style. Impossible : tout simplement impossible de les oublier. La flotte soviétique entière a reçu l’ordre de le traquer et de le détruire à tout prix. Au contraire : dans cette saga rédigée sous la forme d’un thriller, passionnante de bout en bout, vous allez trembler, pauvres lecteurs, mais aussi découvrir tout un monde et apprendre une somme d’informations hallucinante sur la guerre des cartels. Votre conseil m’a donné envie d’essayer. Parfois, cependant, au coeur de la nuit, tandis qu’ils dormaient enlacés comme pour se rassurer l’un l’autre dans l’attente de l’aube, puis d’un autre jour, puis d’une autre nuit qui peut-être leur donnerait l’immortalité, Mrs. Bridge s’éveillait. Mon avis : Les égouts de Los Angeles est un récit fondateur pour Michael Connelly : il s’agit de son premier roman policier (il était auparavant journaliste). Ce qu’il voit, lui, dans les cent dix chambres vides de l’Overlook Hotel, c’est la présence du démon. Le pitch : New York, années 1980. J’y ajouterai le démon de Hubert selby junior et bien sûr ce bon vieux buck, qui représente l’essence même du roman sudiste). Mystère ! Il a recueilli les paroles d’hommes, de femmes, parfois d’enfants, ayant dû faire face à l’horreur ultime. Au cours de son procès, il est bafoué et traité comme un animal par l’avocat commis d’office. Protégé par un écrivain célèbre et pittoresque, Jubal Harshaw, Smith réussira enfin à comprendre la place qu’il occupera sur la Terre, celle du nouveau Messie, rien de moins…. C’est avec l’adaptation de ce thriller que Guillaume Canet, en 2006, s’est fait vraiment un nom comme réalisateur et que François Cluzet a relancé et boosté sa carrière d’acteur. L’une de leurs victimes, la princesse Katerina, est endormie aux limites de ce monde alternatif et du nôtre. Délaissant ses cours de traitement des sols, il découvre les auteurs, la poésie et décide de se vouer à la littérature, quitte à décevoir les siens. Ainsi la généreuse Hadley Richardson a-t-elle été remplacée par la très mondaine Pauline Pfeiffer, et l’intrépide Martha Gellhorn par la dévouée Mary Welsh, au fil d’un scénario qui ne variait que de quelques lignes : la passion initiale, les fêtes, l’orgueil de hisser son couple sur le devant de la scène, puis les démons, les noires pensées dont chacune de ses femmes espérait le sauver. Avec l’aide d’un journaliste du Washington Post, elle défie un ennemi invisible aux moyens illimités…. Dictionnaires, guides et livres de cuisine, [Idées lecture ] Les meilleurs romans américains contemporains, Les meilleures ventes de livres du 1er au 7 février 2021, [Idées lecture] Les meilleurs romans de SF, Racisme : les grands livres américains sur les minorités noires et indiennes, Portraits et photos d’écrivains au travail, Les meilleures ventes de livres du 28 décembre au 3 janvier 2021, Tintin, Astérix, Lucky Luke, Spirou : les meilleurs classiques de la BD, Les articles les plus consultés au cours du 4ème trimestre 2020, Les meilleures ventes de livres du 1er au 6 décembre 2020, Les nouvelles du Tourne Page – Un conte(finement) de Noël. Quel est ce grondement qu’elle émet de temps en temps ? I have not read Bukowski since my adolescence (he is well known in France for an alcoholic scandal he had made in a very popular literary show), your suggestion makes me want to get back to it! Pour que l’entreprise puisse vivre et prospérer (elle représente un investissement en temps quotidien considérable) mais aussi pour qu’elle garde son indépendance, il est essentiel que les visiteurs passent par ces liens pour acheter les livres qu’ils ont identifié sur le site. Un oubli regrettable, indubitablement, car pour peu que la littérature américaine de qualité vous passionne, vous ressortirez ravi de la lecture de ce récit foisonnant, complexe et pourtant d’un accès bien plus facile qu’on bien voulu le dire certaines critiques. Bravant les commérages, Louis se rend donc régulièrement chez Addie. Pourtant, Paulette Jiles, née en 1943, a publié de très nombreux romans aux Etats-Unis; mais c’est sans doute le fait que ce dernier récit ait obtenu une place de finaliste au National book award en 2016 qui a attiré l’attention de l’éditeur français. Ce top a été réalisé grâce aux réponses des utilisateurs de SensCritique. Mon avis : Une fois de plus, nous voilà confronté au problème d’une adaptation cinématographique qui cannibalise (en l’espèce, c’est vraiment le cas de le dire !) Des dizaines ! Rien ni personne ne doit entraver la route toute tracée pour sa fille. Austère ? Imaginez : un roman se déroulant à Chicago en 1925, sur fond de prohibition, en pleine guerre des gangs avec des personnages – au rôle consistant  – de la pointure d’Al Capone (alors « patron » de la ville) et Louis Armstrong (alors jeune instrumentiste sur le point de devenir une star)… ?! Coup de chance : le livre d’anticipation d’ Harry Harrison échappe à cette malédiction et mérite de mener sa propre vie dans l’imaginaire des lecteurs ! Charlie Gordon a 33 ans et l’âge mental d’un enfant de 6 ans. Ce roman a pour décor le milieu artistique new-yorkais des années 1970. C’est sans doute la raison pour laquelle, pendant de très nombreuses années, j’ai totalement ignoré que le splendide film de Milos Forman était tiré d’une oeuvre littéraire ! Les deux veines, autobiographique et historique, irriguent en profondeur ce roman et fusionnent en une émouvante parabole sur l’omniprésence du Mal, symbolisé par l’horreur nazie, mais aussi par l’esclavage et le racisme brutal ou larvé de la société américaine, l’intolérance à tous les degrés, la férocité de la lutte de l’homme pour la vie ou la survie la plus élémentaire. Chef-d’œuvre humaniste, Dalva est un hymne à la vie. Le délice de mourir de peur en lisant un roman : si vous connaissez ce sentiment, vous savez qu’il est rare en littérature, et que Stephen King est un des rares maîtres à réussir à distiller ce délicieux venin. Lu alors que j’avais une quinzaine d’années, le roman m’avait laissé une impression très favorable et, bien qu’assez confuse avec le recul, assez troublante. Jusqu’au jour où Truman Capote surgit dans sa vie. Cette éducation va avoir des conséquences diverses sur les trois enfants. Peut-être… Et quel est donc ce monde où les portes et les douches parlent et n’obéissent aux ordres qu’en retour de monnaie sonnante et trébuchante ? Kelly, comme tout grand auteur américain de romans noirs, se nourrit de ses origines et de ses expériences. La chute de l’URSS permet au jeune homme devenu américain de revenir à Kiev travailler sur les archives. Je ne vais pas revenir ici sur les raisons qui font que John Grisham est le pape du genre,  mais je vais juste expliquer pourquoi ce récit est une réussite quasi parfaite. Le pitch : Tandis que l’humanité s’apprête à entrer clans le troisième millénaire, la surpopulation est devenue telle que les ressources naturelles ne suffisent plus à couvrir ses besoins. Mon avis : Jim Harrison est l’écrivain des grands espaces, mais aussi celui qui a porté pour la première fois l’attention de la littérature américaines sur les minorités indiennes. Si de l’autre côté de la manche, il y a de très grands auteurs, indubitablement, la production britannique n’arrive pas à la cheville (aux genoux ? Ils tirent les ficelles de l’histoire. Alors je n’ai pas résisté… et je n’ai pas été déçu ! Sur près de 700 pages, l »histoire est terrible, passionnante, haletante. A placer sur le podium, au côté du Seigneur des anneaux et du Trône de fer; rien moins que ça. Bonjour, je viens des États-Unis. Sans doute un des trois piliers du mouvement hard science, en compagnie d’Isaac Asimov et d’Arthur C. Clarke. Nos premiers jours est donc le premier tome d’une trilogie aujourd’hui (promptement) achevée. Jane Smiley (quel patronyme superbe ! Ce gros roman (580 pages en édition poche) est bourré jusqu’à la gueule d’idées, de péripéties, d’humour, de personnages étonnants. Un univers terrifiant que la critique n’hésite pas à comparer à ceux de Flannery O’Connor, Jim Thompson ou Cormac McCarthy. Allez au delà de cela et – faites-moi confiance – vous découvrirez un des plus merveilleux romans américains de ce XXI° siècle…. Et, miracle, j’ai découvert – presque redécouvert, en fait ! Saugrenu, puisque le titre original est POP. Je n’en ai pas entendu beaucoup moi-même. Le pitch : En l’an 2130… un « objet » pénètre dans le système solaire et aussitôt les ordinateurs répondent : un cylindre, longueur : 30 km, vitesse : 100 000 km/h… Il sera baptisé Rama. L’ancien psychiatre, grâce à ses connaissances sur la psychologie des déviants criminels, reste la seule personne à pouvoir mettre le FBI sur la piste du tueur. Avec Ubik, un des sommets de l’oeuvre de Philip K. Dick, j’ai ressenti tout au long de sa lecture un léger sentiment d’étourdissement, tant l’impression ressentie s’est révélée supérieure au souvenir, pourtant superbe, que je gardais en mémoire. Après Blade Runner, le chef-d’ouvre de Ridley Scott, les textes de Philip K. Dick ont inspiré de nombreux films : Planète hurlante, Impostor, Minority Report, Paycheck, A Scanner Darkly, L’Agence…. Mon avis : Orson Scott Card est un formidable auteur, connu dans le monde entier pour son best-seller absolu (et mérité) La stratégie Ender. Enfin une sélection large et qui affirme sa personnalité ! Que rêver de mieux ?! Mrs Bridge, publié en 1959, est certainement un des romans les plus remarquables que j’ai pu lire au cours de ces dernières années. Mon avis : Cet énorme volume dont la lecture va vous emmener, non pas au bout de la nuit, mais de plusieurs nuits, est paru à l’origine, en France, en six tomes. à l’épaule ?) Oui, pourquoi Le poète est-il un chef-d’oeuvre ? Mais tout l’intérêt du récit est de suivre comment il évolue, jour après jour, grâce au carnet de bord qu’il tient lui-même. Coupé du monde par le froid, la neige, les glaces. Le pitch : Dans la Louisiane des années quarante, un jeune Noir, démuni et illettré, est accusé d’avoir assassiné un Blanc. Mais sa vraie famille est plus vaste , c’est une des » familles » de la Mafia dont il est un des chefs les plus aimés, mais aussi les plus respectés, car il est raisonnable et juste. Aujourd’hui, j’ai la chance de m’adonner à nouveau à mon activité favorite : mettre (ou remettre) sous les feux des projecteurs un merveilleux livre un peu oublié, pour en faire profiter le plus grand nombre ! Cauchemar ou réalité le corps de cette femme assassinée ? Par la mafia irlandaise, il rencontre Grace, dont il s’éprend. Pendant huit ans, il analyse la société savannahienne avec une minutie digne d’un entomologiste. His books include « Ham on Rye », « Post Office », and « Women. Au fil d’événements dramatiques, le jeune garçon va devenir adulte et faire l’apprentissage de l’amour et de la mort. Le livre, qui resta inachevé, fut publié de manière posthume en 1964. Ses parents ont été tués quatre ans plus tôt par les Kiowas, qui ont épargné et élevé Johanna comme une des leurs. Mon avis : « Joie ! Gurgeh est le champion de la Culture, une vaste société galactique, pacifique, multiforme, anarchiste, tolérante, éthique et cynique où le jeu est considéré comme un art majeur. La plus grande partie du pays est vide, il y résonne le souffle du vent, l’appel de …, Dans le sud des Etats-Unis, les hommes vivent dans la tôle ondulée, un bayou plein de moiteurs offre son ombre pestilente aux égarés, le crocodile est domestique, contre une caresse sur ses mandibules tavelées, il dépèce le cadavre des importuns. – de ce roman puis de parcourir le pitch, vous devez être persuadé – comme je l’ai été, juste avant de l’acheter – qu’il s’agit d’un polar humoristique. Editions Pygmalion – 1 044 pages (T1) 23.00 €, Le pitch : Il était une fois, perdu dans un lointain passé, le royaume des Sept Couronnes…. La chaîne de l’amour du livre, faites la vivre ! Près de 800 pages qui vont vous entraîner dans un autre monde. au pied de champignons géants, générateurs formidables. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s’apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même. » One of his literary inspirations was Louis-Ferdinand Céline. Du ghetto noir aux riches familles blanches, en passant par la mafia italienne tenue par Al Capone, Chicago vit au rythme du jazz, de la prohibition, et surtout du crime. Complices dans le bonheur comme dans l’adversité, ces trois irrésistibles « quinquas » afro-américaines aussi puissantes que fragiles ont fait d’un des restaurants de leur petite ville de l’Indiana. Et je ne l’ai pas regretté une seconde ! S’il perd…. Mon avis : Lorsque Le choix de Sophie est sorti dans les librairies, en 1979, il a immédiatement rencontré un immense succès, tant critique que commercial. Des bureaux d’agents d’artistes aux coulisses de Broadway, des plateaux d’Hollywood aux premières émissions TV, le roman suit leur ascension (et chute) respective, au rythme de leurs rencontres plus ou moins heureuses, carrière, amitié, amours bien sûr et autres trahisons et désillusions…. Mon avis : Comment ai-je pu passer à côté de ce fantastique bouquin jusqu’en 2014, alors que j’avais vu le film, comme beaucoup, trente ans plus tôt ? Le temps passe…. Certains d’entre vous objecteront qu’ils ont déjà visionné le formidable film avec Anthony Hopkins et Jodie Forster. Ils se marient et élèvent leurs trois enfants dans le culte exclusif de la musique, de l’art, de la science et de l’amour universel, préférant ignorer la violence du monde autour d’eux. 1280, cela se traduit par POP. Mon avis : La couleur des sentiments : qui n’a pas ce roman en mémoire ? Mon avis : Dans l’univers Dan Simmons, il y a des sommets splendides (L’échiquier du mal, Hypérion), et des abîmes sans fond (Flashback). À la fois écrasé par son père et révolté par l’ambition dévastatrice de ce tyran autoritaire et cynique, son fils Peter profitera de la révolution mexicaine pour faire un choix qui bouleversera son destin et celui des siens. ), il est en tout point aussi parfait que le film : même tension, même plongée dans la folie du plus grand et génial des psychopathes de l’histoire de la littérature ; et même final époustouflant ! Alors vers quel contrat mirifique notre brillant juriste est-il en train de se ruer, au point d’en oublier la gravité nécessaire à la profession ? Avec lui vivent sa femme, Wendy, qui espère, grâce à cet isolement, reconstruire son foyer menacé, et surtout leur enfant. D’abord, parce que c’est un titre magnifique, mais aussi parce que cette notion d’enfant est absolument au centre du propos développé par Jim Thomson. Ceci posé, venons en au fait : ces neuf nouvelles (parmi les 120 écrites par Philip K. Dick au cours de sa courte vie) sont d’une lecture absolument indispensables, car elles permettent, pour celui qui ne connait pas l’auteur, d’avoir une sorte de digest très représentatif de son travail de novelliste. Ainsi, chaque jour, Robert Neville doit organiser sa survie et chaque nuit subir les assauts des demi-morts affamés. Mon avis : Avec ces trois romans publiés à quelques mois d’intervalle, Paul Auster révolutionne la narration romanesque classique et en fait quelque chose… qui ne ressemble à rien d’autre ! Les Auteurs Américains comme Harlan Coben et Michael Connelly sont les maîtres du suspense ! Il a travaillé dans le bâtiment, et ses héros sont des ouvriers – mineurs de fond pour construire une canalisation d’alimentation en eau ici, constructeurs de gratte-ciel dans Les bâtisseurs de l’empire. De son passé de Lulamae, il lui reste pourtant quelque chose de plus profond que la frivolité qu’elle affiche avec impertinence, une absence de lest qui conduit à une existence de courants d’air. J’adore les romans d’initiation quand ils sont réussis, car il touche à l’essence même de la vie : le passage de l’enfance à l’âge adulte. Depuis sa mort, en 1988, elle survit dans les mémoires essentiellement grâce aux innombrables adaptations cinématographiques de ses romans (l’adaptation du présent roman est un film magnifique), alors que c’était avant tout, une auteure au style formidable. Le pitch : Holly Golightly adore traîner chez Tiffany, parce que tout y est beau. Il faut dire que broder un texte d’imagination autour d’un ou plusieurs personnages célèbres ayant réellement existé est séduisant. Un bouquin trouvé au fond d’une brocante. Publié au début des années 90 chez Denoël en deux forts volumes brochés (qui sont soigneusement rangés dans ma bibliothèque…), puis en format poche en deux ou quatre volumes, ce roman indispensable est enfin publié en une intégrale en un seul volume chez Folio SF. Ils ont signé pour le frisson, une place sur le manège le plus enivrant que la vie ait à leur offrir. Mon avis : Tous les Américains ont lu le chef-d’oeuvre qu’est Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur à l’école.De nombreux jeunes lecteurs en ont fait de même en France, surtout au cours de ces dernières années, qui correspondent à une nécessaire période de réhabilitation d’Harper Lee. Suspense et frisson Effacement progressif de l’homme, au bénéfice d’autres espèces animales, dont – en majeure – les chiens. Disons le tout net : ce premier roman de Tim Gautreaux, publié en France (mais le deuxième dans l’ordre chronologique) écrit à l’âge à l’âge de 56 ans, est un grand livre. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d’objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Même si ce roman n’a rien à voir avec de la Science Fiction, et si je l’ai classé dans la catégorie Fantastique, c’est uniquement pour ne pas vous tromper sur la marchandise : il y a bien un élément fantastique, très présent, dans ce très épais ouvrage (plus de 700 pages en version brochée, plus de 1 000 pages en poche), mais ce n’est pas l’essentiel du propos, loin de là. Désolé pour le mauvais français, j’ai utilisé Google Translate. Retour aux sources pour cette expédition de trappeurs, dans la tradition des grands romans d’aventure à l’américaine. Belle sélection qui peut servir pour mon groupe de lecture, j’ai lu certains de ces livres….Depuis des années je recherche un roman américain, lu dans les années 70, donc traduit en français et paru , sans doute, dans les années 60-70; j’ai malheureusement oublié titre et auteur, pouvez vous m’aider ?C’est un roman plus pour les ados et jeunes adultes, une histoire triste et très émouvante d’adolescents, cela se passe sur la côte Est(Peut-être dans une île)…Peut-être cela va vous parler et pourrez me proposer quelques livres..Merci d’avance…, En ce qui concerne votre colle, cela va être difficile avec si peu de précisions. Un médicament ? Les 100 livres incontournables à commander à votre librairie en “click & collect” 2 minutes à lire. Pourtant… ne faudrait-il pas se méfier de ces mystérieux bienfaiteurs ? Il sera suivi de L’Usage des armes et d’Une forme de guerre. Devenant du coup un dangereux criminel…. Chaque écrivain a choisi 10 livres. Vêtue de rouge, Defred,  » servante écarlate  » parmi d’autres, à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Roman ? Le pitch : Tout allait bien, semblait-il. Le terme paraît peu approprié puisque Max Brooks (oui ! Si Jonathan Frenzen vous barbe, si Richard Ford vous endort, précipitez vous sur les romans de Jonathan Tropper ! Une vie de rêve née deux ans plus tôt, avec la parution de son premier roman Bush Falls, un best-seller corrosif rapidement adapté à l’écran. Un livre qui fait pourtant un carton aux États-Unis depuis sa sortie en 1968, où il est même devenu un vrai classique. Plutôt irrité par son comportement irresponsable, Herbert Greenleaf, riche armateur, demande à Tom Ripley de ramener son fils en Amérique. Un tueur de la mafia italienne qui se retrouve dans la peau d’un rabbin, c’est l’occasion pour l’auteur de détourner tous les codes du genre et, par là même, la prévision d’un sacré bon moment pour le lecteur. Longtemps marquée par la ségrégation leur quartier général où, tous les dimanches, entre commérages et confidences, rire et larmes, elles élaborent leurs stratégies de survie et se gavent de poulet frit. Hi, I’m from the US. Il sait qui va gagner le prochain Derby, et ce qu’il en sera d’IBM et d’Apple…, Qui n’a jamais rêvé de pouvoir revivre son passé fort de son expérience d’aujourd’hui ? Cent ans de solitude, L’attrape-coeurs, Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Les enfants de minuit… En comparant les nombreux choix des lecteurs, auteurs, éditeurs et critiques établis au fil du temps, Vogue dresse une liste non exhaustive des romans incontournables à avoir lu dans sa vie. Mais en dépit d’une implacable préparation, les choses ont comme une fâcheuse tendance à dévier de leur cours. Avocat intègre et rigoureux, il est commis d’office pour défendre un Noir accusé d’avoir violé une Blanche. La richesse de ce livre est telle qu’il est difficile de mettre en avant ce qui est le plus remarquable. Il décide donc de commencer à faire le ménage…. qui se retrouvent dans leur restaurant favori, chez Earl all-you-can-eat (titre original du roman), voilà ce que propose l’auteur. Mais derrière les façades proprettes des demeures victoriennes ou celles plus vétustes des maisons des faubourgs, des drames se jouent.
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