Les trois premières armes de Dieu s'adressent à notre façon de vivre. Puis, afin de rendre son exhortation encore plus efficace, il rappelle aux Hébreux la puissance de cette parole qui, toujours vraie dans ses menaces comme dans ses promesses, discerne et punit en nous les plus secrètes infidélités (v. 12-13). Vous savez que plus tard, lorsqu’il a voulu recevoir la bénédiction de son père, il a été rejeté, car il n’a trouvé aucun moyen d’amener son père à revenir sur ce qu’il avait fait, bien qu’il l’ait cherché en pleurant. En Lui, et en Lui seulement, on jette, et sans arrière-pensée, loin de soi toute entrave; on ne combat pas le péché par la chair. Il y a deux choses à rejeter: tout fardeau et le péché qui nous enlace les pieds (car il est question ici de celui qui court dans la lice). Ce n’est pas qu’il ne sentît profondément l’offense faite à sa sainte personne. Il a «enduré», supporté «la contradiction» des pécheurs contre lui-même. Il nous discipline «pour notre profit», avec une sagesse parfaite; connaissant et choisissant les moyens propres pour nous faire arriver au but qu’il se propose à notre égard, et ne se lassant pas de les employer: faisant travailler toutes choses à notre bien. (v. 25-27). (v. 7). 8:28). Hébreux 12:2 Psaumes 121:1-2 Les conséquences de ne pas fixer ses regards ne peut qu'être : L'ECHEC,LA FROIDEUR,L'ABANDON. Ceux qui la composent ne sont pas nés là; ils n’en sont pas les indigènes, comme les anges. Dieu ne s’attend pas à ce que ces exercices soient agréables au moment où on y passe; ils ne produiraient pas leur effet, s’ils l’étaient — mais ensuite, la volonté étant brisée, ils produisent les fruits paisibles de la justice; l’orgueil de l’homme est abattu, quand il est forcé de se soumettre à ce qui est contraire à sa volonté. C’est un père sage qui corrige son enfant, tout en l’aimant et parce qu’il l’aime. Et de fait, quand on regarde à Jésus, rien n’est plus facile; quand on ne regarde pas à Lui, rien de plus impossible! Appliquées comme figure à l’âme, ces expressions désignent aussi la faiblesse, le relâchement, produits par le doute, par le manque de foi et de confiance en Dieu. Ce respect et cette crainte, liés au sentiment de la grâce, donneront à notre culte un caractère extrêmement élevé. Cet exemple est placé devant les Hébreux professants pour leur montrer le danger que couraient ceux qui rejetteraient le christianisme, après l’avoir accepté. L’expression «racine d’amertume» est bien propre à attirer l’attention. La chair, le cœur humain, s’occupe des soucis et des difficultés; et plus on y pense, plus on en est chargé. Mais si un cœur vient à l’oublier, s’il ne s’appuie plus sur elle, s’il n’en jouit plus, en un mot, s’il vient à en manquer — non que ce soit elle qui lui manque, car Dieu reste le même, mais parce qu’il a négligé ce précieux trésor, alors il est ouvert au mal: quelque cause lui en a ôté la jouissance. Ceux-ci sont morts et ne sont pas encore parvenus à la perfection, tandis que lui, le Chef et le consommateur de la foi, a été ressuscité et est assis à la droite du trône de Dieu. Troisième danger: «De peur qu’il n’y ait quelque fornicateur, ou profane comme Ésaü». Mais il veut que nous lui ressemblions pratiquement; que moralement notre état réponde à ce qu’il est; et c’est pour nous le bonheur qui ne peut se trouver que dans la proximité du Dieu saint et bienheureux dans sa sainteté. L’apôtre tire maintenant, pour les croyants, la conséquence de ce qu’il vient de dire. Ils sont les objets des conseils de Dieu. Ainsi la soumission à la discipline fait éviter cette fin fatale: «nous vivrons», pour jouir du fruit béni de ces épreuves par lesquelles un tendre Père juge bon de nous faire passer. Il s’agit là de ce qui vient de l’intérieur; au v. 4, c’est contre le péché qui vient du dehors qu’il faut combattre. Les mains lassées ont peut-être trait à la prière, en rapport avec cette parole de 1 Tim. Sa séance actuelle à la droite de Dieu, non seulement comme ayant fait par lui-même la purification des péchés, mais comme consommateur de la foi, nous montre l’issue glorieuse d’un tel chemin. La racine a déjà tous les caractères qui se trouveront dans les fruits qu’elle produit. 12:7). Eux, ils avaient été en rapport avec les voies de Dieu sur la terre; mais, fidèles avant que le temps fût arrivé pour la bénir, ils avaient leur portion et leur repos dans le ciel. Mais non; «il méprisa son droit d’aînesse» (Gen. 25:29-34). Ce sont les sentiers de la foi. Notre Dieu, le Père des esprits, désire notre vrai bien, un bien en dehors et au-dessus de tout ce que la terre peut offrir. Est-ce que je la poursuis; est-ce la chose qui occupe mon âme, que d’être en tout gardé à part pour mon Dieu? De ces esprits des justes consommés, déjà dans le ciel, nous descendons au peuple terrestre, pour lequel il y a encore des bénédictions en réserve; non plus sur le principe de la loi et de la responsabilité de l’homme, mais sur le principe de la grâce. Dans l’Ancien Testament, l’idolâtrie, dans laquelle les Israélites étaient exposés à tomber et sont tombés souvent, est appelée adultère à l’égard de Dieu et fornication. 1 «Père des esprits» est simplement en contraste avec les «pères de notre chair». Soumis ainsi, «nous vivrons». 6:17, 18; 7:1), et en même temps une marche dans tout ce qui est selon Dieu. Hébreux 6:9-12 Quoique nous parlions ainsi, bien-aimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut. Poursuivre la paix, est s’efforcer d’éviter ces dissensions entre chrétiens qui nuisent au développement de la vie spirituelle, d’apporter en tout un esprit d’humilité et de douceur qui écarte les occasions d’irritation et de froissements et qui apaise les querelles. Les dissensions entre chrétiens sont un des plus grands dangers pour la vie spirituelle ; la paix, la communion fraternelle, au contraire, est tout ce qu’il y a de plus propre à raffermir les âmes affaiblies. Cette marche du mal est surtout frappante au point de vue doctrinal. Leur bourgeoisie est dans les cieux (Phil. C’est dans ce sens qu’il est appelé le «Père des esprits»; de lui ils tirent leur origine, de même que nos corps la tirent de nos pères selon la chair. La discipline renferme tout ce qu’embrasse cette merveilleuse déclaration: «Il ne retire pas ses yeux de dessus le juste» (Job 36:7). trop souvent nous nous relâchons. Non seulement son exemple parfait établit entre lui et les témoins du chap. Ce fait ne nous est point rapporté dans le récit que nous donne l’Exode, chap. 4:6) — dont nous jouirons dans le ciel, et qui seule nous rendra possible de voir le Seigneur. Le contraste entre les deux lui sert d’argument puissant — «car», dit-il — pour montrer combien il serait insensé et coupable d’abandonner l’un pour retourner à l’autre. De ce vaste empire, la Jérusalem céleste, la cité du Dieu vivant, est, pour ainsi dire, la métropole. Ils pouvaient, sous la discipline actuelle du Père, regarder à la bénédiction qui en serait la suite. 5, nous voyons David, le roi élu, l’homme selon le cœur de Dieu, marchant contre les Jébusiens à Jérusalem, et s’emparant de la forteresse de Sion qui devient la ville de David. Tout ce qui appartient à la première création — les choses muables — doit disparaître et céder la place aux choses immuables, permanentes, de la nouvelle création. (v. 18-24). Israël était ruiné; «Icabod», c’est-à-dire «privé de gloire», était écrit sur le peuple, car l’arche de l’Éternel était tombée entre les mains de l’ennemi et, bien que ramenée, elle reste chez Abinadab, oubliée pour ainsi dire. C’est la séparation pour Dieu de toute souillure, de tout ce qui est mal (2 Cor. Les fardeaux sont les difficultés et les soucis de toutes sortes que présente le chemin de la vie; ce qui embarrasse l’esprit ou tient au cœur dans les choses terrestres. Christ l’avait fait, ainsi que plusieurs des témoins dont il est question au chap. Ils étaient arrivés à la possession par la foi de toutes ces gloires millénaires et éternelles; ils étaient la partie céleste de ce royaume qui ne peut être ébranlé et qui sera introduit de fait par l’ébranlement des choses muables — ils étaient les premiers fruits de la nouvelle création, et quant au présent, ils recevaient déjà ce royaume. 29:18, 19, où l’infidélité du cœur et l’idolâtrie, si elles se glissaient parmi le peuple de Dieu, sont comparées à une racine amère produisant «du poison et de l’absinthe». N’ayant pas apprécié la bénédiction, quand plus tard il la désira, il fut rejeté, bien qu’il la recherchât avec larmes. Servir ici, comme partout dans cette épître, se rapporte au culte que nous avons à rendre à Dieu. Le motif qui est donné pour qu’on marche ainsi, nous l’avons dit, c’est la grâce; mais elle prend ici une forme qui demande à être considérée un peu en détail. Paul, en Actes 20:24, exprime son désir d’achever sa course, et en 2 Tim. Il était entré en grâce dans un sentier tel, qu’il avait besoin comme homme, d’encouragement par la vue du but qui lui était proposé à la fin de ses souffrances et de ses humiliations. Lettre aux Hébreux. Quelles sont les armes de Dieu? Combien il est essentiel dans nos temps de relâchement de nous souvenir avec sérieux de cette exhortation: «Poursuivez la sainteté»! Ils ne sont pas (comme les saints de l’Ancien Testament) les objets des promesses, lesquels n’en ayant pas reçu l’accomplissement sur la terre, ne manqueront pas d’en jouir dans le ciel. Ainsi le motif de notre service est la grâce, et son caractère, la manière de l’accomplir, est le respect et la crainte. Elle figure l’intervention de la souveraine grâce de Dieu envers Israël, quand tout avait failli sous la responsabilité de la loi. Or Dieu agit dans ces épreuves comme un père; il nous châtie: elles viennent peut-être, comme pour Job, de l’Ennemi, mais la main et la sagesse de Dieu y sont: il châtie ceux qu’il aime. L’arche y est placée; l’Éternel, dans sa grâce, ayant établi la royauté en David, rétablit aussi le peuple dans ses relations avec lui-même. La pensée de se détourner du christianisme pouvait s’élever dans le cœur des Hébreux à cause des difficultés qu’ils trouvaient sur leur route: s’ils manquaient de la grâce de Dieu, s’ils ne jugeaient pas cette pensée, elle pouvait devenir une racine d’amertume, qui, d’abord cachée, bourgeonnerait bientôt, se montrerait, troublerait les âmes et en souillerait plusieurs. 12 Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. Tout ce qui est dispensé provenant de l’amour du Père, nous pouvons prendre courage. Nous retrouvons encore ici ce mot «c’est pourquoi», souvent employé par l’auteur de l’épître, et qui indique que ce qui suit est une conséquence de ce qu’il vient de dire. Sans elle, il n’y a pas de communion possible avec Dieu; nous avons déjà le privilège ici-bas de le voir, de le contempler, de jouir de lui par la foi et dans la puissance de l’Esprit, mais jamais en dehors de la sainteté pratique. Le sang d’Abel, versé par Caïn, criait de la terre à Dieu et demandait vengeance du crime commis. Si la paix de Dieu garde mon âme dans la jouissance de Christ (Phil. 8; Héb. Nous sommes exhortés ici à rechercher ou poursuivre deux choses: la paix avec tous, et la sainteté sans laquelle nul ne verra le Seigneur. Servir Dieu «d’une manière qui lui soit agréable». 8:28) , que «notre légère tribulation d’un moment» est destinée à opérer «pour nous, en mesure surabondante, un poids éternel de gloire» (2 Cor. Le v. 1 nous parlait du péché qui nous enveloppe aisément. Cela posé, nous sommes exhortés à éviter deux écueils: l’un, c’est de passer légèrement sur les épreuves qui nous sont dispensées, ne prenant pas garde que, par elles, Dieu veut nous enseigner quelque chose, nous reprendre et nous former, ou de faire les stoïques dans les afflictions, et ainsi, de «mépriser la discipline du Seigneur». C’était l’exhortation que l’Esprit Saint, par la bouche d’Ésaïe, adressait à Israël, en lui annonçant la bénédiction à venir, quand son Dieu viendrait le sauver. Cette expression est en contraste avec «les pères de notre chair». Quantity: Continue Shopping. Verset 9. Elle est plus tranchante que toute épée à double tranchant et, pénétrant jusqu’à la division de l’âme ainsi que de l’esprit, et des jointures ainsi que de la moelle [], elle juge les dispositions et les pensées du cœur. Elle nous dit: «Voilà où aboutit le chemin de la foi: courez donc dans ce chemin». C’est là le secret de la foi. Study This × Bible Gateway Plus. Ces sentiers droits sont ceux dans lesquels nous conduit la parole de Dieu, à part du péché, du monde et de la recherche des avantages que la terre peut donner; sentiers dans lesquels on regarde droit devant soi vers les choses divines et célestes sans hésiter et se détourner, sans vouloir allier la terre avec le ciel, le monde avec Christ. ), doit être dissous. Notre divin Chef a marché devant nous; il a combattu et vaincu; combattons aussi, et «si nous souffrons avec lui, nous serons glorifiés avec lui». «Redressez les mains lassées et les genoux défaillants». «Car aussi notre Dieu est un feu consumant»: «notre Dieu», remarquez-le, et non Dieu en dehors de Christ. 9:24, 25; Phil. C’est l’Église. De là, le rapport que l’auteur laisse entrevoir ici … Seigneur, par ces choses on vit, et en toutes ces choses est la vie de mon esprit» (Ésaïe 38:15, 16). Commentaire avancé; Hébreux; Chapitre 12; Chapitre 12. Montant plus haut encore, cette scène merveilleuse nous présente un objet particulier: «l’assemblée1 des premiers-nés écrits dans les cieux». Après avoir établi le contraste frappant entre Sinaï avec ses terreurs, et la scène merveilleuse de gloire céleste et terrestre à laquelle les Hébreux étaient venus, l’auteur de l’épître les exhorte d’une manière pressante à ne pas se détourner de Celui qui leur parlait des cieux, c’est-à-dire Christ. Toutefois il ne faut pas oublier que, si la grâce nous a amenés près de Dieu, de sorte que nous sommes en liberté en sa présence, il n’en reste pas moins le Dieu Tout-puissant, le Dieu saint et juste, et que nous sommes devant sa Majesté souveraine. Jacques Colant 8,010 views. L’Éternel ne demeurait pas encore au milieu de son peuple (voyez 1 Sam. Qu’il va encore une fois secouer, non seulement la terre, mais aussi les cieux, selon la prophétie d’Aggée (Aggée 2:6). Nous retrouvons de nouveau un «c’est pourquoi». On voit ainsi toute la force et l’à-propos de l’avertissement qui leur est donné. 4:24), est aussi notre Dieu, le Dieu des chrétiens, et demeure dans son caractère de sainteté qui lui fait juger le mal. trop souvent nous nous relâchons. On ne doit ni mépriser ces châtiments, ni être découragé quand on les souffre; on ne doit pas les mépriser, car Il ne châtie pas sans motif ni sans cause; et puis c’est Dieu qui le fait; on ne doit pas être découragé parce qu’il châtie en amour. 33520 BRUGES, FRANCE, © 2021 - BibleEnLigne.com - Mentions Légales - Ce tableau de la gloire, de ce qui y est le plus élevé, et c’est ce qu’il y a de plus excellent en grâce, nous amène au sommet, à Dieu lui-même, «juge de tous». (v. 15, 16). Si nous perdons la vie pour le témoignage du Seigneur et en résistant au péché, le combat est terminé; et ce n’est pas là un châtiment; mais c’est la gloire de souffrir avec Christ. 33520 BRUGES, FRANCE, © 2021 - BibleEnLigne.com - Mentions Légales - Read the 'Bible Louis Segond (1910)' translation of the Bible. Deuxième danger: «De peur que quelque racine d’amertume, bourgeonnant en haut, ne vous trouble, et que par elle plusieurs ne soient souillés». «Ne vous inquiétez de rien» aurait été une exhortation inutile s’il n’y avait rien eu de propre à inquiéter. Nous savons ce qu’il faut entendre par la sainteté pratique, celle dont il est question ici. Combien plus devons-nous nous soumettre au Père des esprits1 qui veut nous rendre participants de sa propre sainteté. 5 : 12-13). 12 Car la Parole de Dieu est vivante et efficace. Christ l’a fait; il a mieux aimé mourir que de ne pas glorifier Dieu en tous points. Nous les voyons, en Apoc. L’écrivain inspiré annonce, par conséquent, l’ébranlement de tout; il annonce que tout ce qui existe, comme création actuelle, sera mis de côté. «Bienheureux ceux qui sont purs de cœur», dit le Seigneur, «car c’est eux qui verront Dieu» (Matt. Il s’applique à ranimer leur zèle et à les encourager. 27:25). Mais l’auteur couronne le tableau qu’ils présentent, en plaçant devant les yeux de ceux auxquels il écrit et devant les nôtres, Celui qui marche à la tête de tous ces témoins, le témoin par excellence, devant lequel pâlit le témoignage de tous les autres, quelque grand et apprécié qu’il eût été aux yeux de Dieu. La loi ne pouvait nous y faire arriver. Cela seul peut donner de la force et du courage par la confiance en Dieu. Remarquez ici la grâce à laquelle il est fait appel. «Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur» (1 Jean 3:3), et la marche dans la sainteté pratique aboutit à la vie éternelle en gloire (voyez Rom. Le chap. Pèse le chemin de tes pieds, et que toutes tes voies soient bien réglées» (Prov. Le fruit de la discipline pour ceux qui sont exercés par elle, est donc un état d’âme paisible dans la soumission à la volonté de Dieu et dans une marche de séparation pour lui. L’autre écueil, c’est de nous laisser aller au découragement; de nous laisser écraser sous le poids des épreuves, comme si tout ce qui nous arrive ne provenait pas de l’amour parfait de notre Père pour nous: «Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu» (Rom. 19:18), et maintenant il parle avec grâce et autorité du haut du ciel, et que nous annonce-t-il? Les Hébreux étaient exposés à un danger semblable. Nous sommes donc exhortés à fixer nos regards sur lui, là où il est arrivé — tout en nous souvenant du chemin dans lequel il a marché. Il est remarquable de voir de quelle manière l’apôtre engage les Hébreux croyants à se débarrasser de toute entrave, soit péché soit difficulté, comme s’ils n’avaient rien à faire qu’à les rejeter comme un poids inutile. Deux choses sont requises de celui qui veut courir avec avantage dans la course proposée: c’est que rien ne pèse sur lui pour l’accabler; c’est ensuite que rien ne s’attache à lui pour l’arrêter. 10: l’abandon du christianisme par ceux qui, sortis du judaïsme, l’avaient accepté. «Et moi», dit l’Éternel, au jour où les rois de la terre s’élèvent contre lui, «j’ai oint mon roi sur Sion, la montagne de ma sainteté» (Ps. 16:10); mais il savait aussi que, par la résurrection, Dieu lui ferait connaître le chemin de la vie, et qu’il arriverait ainsi devant sa face, où il y a des rassasiements de joie et des plaisirs pour toujours. Il voyait que son chemin le conduisait jusqu’à la mort et au tombeau (Ps. La montagne qui peut être touchée, indiquait une économie terrestre, mais en même temps cette montagne, sur laquelle Dieu était descendu, ne devait pas être approchée, ni touchée, sous peine de mort. 2 Cf. C’est simultanément que nous avons à poursuivre ces deux choses. Enfin, le sang de Jésus avait été répandu sur la terre, comme celui d’Abel par Caïn; mais au lieu de crier de la terre en demandant la vengeance, et de rendre un Caïn vagabond et fugitif sur la terre, type frappant du Juif coupable de la mort de Jésus, c’est la grâce qui parle; et le sang répandu crie pour obtenir le pardon et la paix de ceux qui l’ont versé.
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